lundi 4 juillet 2016

Dirigeants de PME, comment booster vos ventes ...


Essayez le management de transition à temps (très) partiel pour booster vos ventes !
Pour augmenter vos ventes, rien de tel que l’appui quelques jours par mois d’un professionnel de la vente B to B, pour :
  • Aider vos commerciaux à construire un plan d’activité efficace
  • Professionnaliser vos actions commerciales (devis, propositions …)
  • Assurer que tous les devis sont bien relancés
  • Mettre en place les bonnes pratiques de prospection, argumentation, négociation, vente aux grands comptes …
  • Mettre en place les reportings nécessaires (affaires en cours, activité…)
  • Accompagner votre responsable des ventes vers une plus grande efficacité
Qu’est-ce que je vous propose ?
  • La présence dans vos murs d’un consultant opérationnel, en temps (très) partiel, par exemple un jour par semaine, trois jours par mois, selon la taille de votre équipe
  • Trouver une croissance importante en CA … et en marge.
  • Vous aider à mettre en place les bonnes pratiques, et passer la main ensuite
  • Une journée d’interviews pour cerner les besoins et la faisabilité de mon intervention
Qu’est-ce que je ne vous propose pas ?
  • Une étude de marché
  • D’intervenir si vous faites de la vente B to C
  • De mettre en place vos campagnes de communication
  • De m’embaucher
Quelle est ma valeur ajoutée ?
  • 20 ans de pratique de la direction commerciale
  • Consultante opérationnelle depuis 13 ans
  • Une pratique approfondie du management de transition, de l’accompagnement de dirigeants et de commerciaux, de la formation commerciale

mercredi 4 mai 2016

Elargissons notre champ de vision sur la vente

Au lieu de toujours me focaliser sur ce que je vends (mon produit ou service), je vais me focaliser aujourd'hui sur ce qu'on m'achète. Et prendre pour cela un exemple : lorsque j'arrive à un rendez-vous avec 10 minutes d'avance, je vais souvent prendre un café. Le patron du bar pourrait penser que je viens pour prendre un café ... Logique, non ?
Or, en réalité, et selon les jours, j'achète :
  • Dix minutes dans un endroit où il fait chaud et il ne pleut pas
  • La possibilité de lire la presse
  • L'opportunité de relire mes notes tranquillement
  • La possibilité d'aller aux toilettes
  • Un endroit convivial pour me déstresser et faire la causette
  • ...
Et souvent, en plus, le café n'est même pas réellement bon !
Si l'on transpose cela à la vie des affaires, nos clients nous achètent évidemment le produit et service que nous vendons à un certain prix, mais aussi des services additionnels (transport, formation, SAV...) et des caractéristiques non facturables mais très importantes : image, relationnel, sérieux, situation géographique, ...
Environ la moitié des décisions d'achat se font en réalité sur les services additionnels et les caractéristiques non facturables.

dimanche 13 mars 2016

Pratiquer la "non-vente"

Connaître le produit que l'on vend, étape 1
Maîtriser les techniques de vente et de négociation, étape 2

Mais le fonctionnement de la "non-vente" permet d'atteindre des sommets d'efficacité

J'y reviens bientôt ...

mardi 23 février 2016

De l'urgence au budget temps

Auguste est directeur commercial. Nous sommes le 2 janvier. Il s'apprête à se lancer dans la réussite de l'objectif commercial de son entreprise, avec son équipe. Il va falloir être méthodique !
Il ouvre sa messagerie, répond au téléphone, à des sollicitations diverses ... il est interrompu par une urgence chaque fois qu'il ouvre son plan d'actions commercial. Lui qui voulait être un exemple pour ses 7 commerciaux !
Nous sommes le 9 janvier. La semaine précédente n'a pas été très productive.
Auguste a beaucoup réfléchi pendant le week-end.
"Alors, je pars du bas de l'entonnoir des ventes : chacun de mes commerciaux doit faire 1 million d'euros de chiffre d'affaires. Ca fait en moyenne 20 affaires par commercial. Pour signer une affaire, il faut émettre en moyenne 3 propositions ou devis, donc 60 par tête. Un entretien sur 4 donne lieu à une offre. Chaque commercial va devoir assurer 240 entretiens de suivi clients ou de découverte prospects. Plus des entretiens pour faire aboutir les 20 affaires, mettons 100."
Auguste commence à avoir le tournis !! Lui qui n'a jamais compté son temps, il se rend compte qu'il est précieux ... et décide de faire un budget temps pour son équipe et lui-même :
"Chaque commercial va passer 1000 heures environ par an en entretien, 60 propositions ou devis ... 300 heures, deux salons : présence, préparation, suivi des retombées, 100 heures, réunions commerciales : 50 heures, formations et séminaires internes : 40 heures, les temps de déplacement ... Je laisse 10% du temps, pas plus, pour gérer les urgences et les imprévus
Auguste répartit ces temps par mois et voit l'année se profiler plus clairement. Il lui reste à construire son propre budget temps : accompagnement terrain, appui commercial, entretiens en face à face, comité de direction, représentation ... voilà, c'est fait !

jeudi 16 avril 2015

Vente : annonce du prix

Une des grandes difficultés pour ceux qui vendent, et j'englobe là non seulement, les vendeurs, les commerciaux, mais encore les professions libérales, les consultants indépendants, ... est l'annonce du prix. J'entends, je vois souvent les mimiques génées, la voix assourdie, les postures contrefaites de ceux qui annoncent un prix en se disant "c'est vraiment trop cher, ça ne passera pas".

Dans les cours traditionnels de vente, on apprend la méthode sandwich et la méthode saucisson pour présenter le prix. En général, on retient le nom des méthodes, mais le passage à leur utilisation est bien plus difficile !

La publicité actuellement sur les abribus et concernant les voitures Smart me plaît bien. C'est un bon exemple de la méthode saucisson, qui consiste à présenter le prix en le découpant en rondelles ... de saucisson : en l'occurence, ici il s'agit de présenter le prix ... d'un kilo de Smart.
L'astuce complémentaire est de mettre à côté un produit de consommation courante (une barquette de framboise), un des plus petits animaux domestiques qui soit (un poisson rouge), un habitué des tabloïds (un joueur de foot), et de faire apparaître leur prix au kilo beaucoup plus important que celui de la Smart.
Qui essaie ?

mardi 4 décembre 2012

Négocier avec les grands comptes

Un article paru dans Le Monde  du 15.11.2012 sous la plume de Jean-Baptiste Chastand m'a prodigieusement fait penser aux négocations dans les grands comptes ... On en trouvera ci-dessous des extraits (en italique), entre mes commentaires. Il s'agit, en l'occurrence des négociations démarrées début octobre 12 entre cinq syndicats et des organisations patronales concernant le droit du travail, pour trouver un "compromis historique" demandé par les politiques.
Travail d'équipe et endurance
Comme en ce qui concerne les grands comptes, cette négociation-là implique de nombreux interlocuteurs de part et d'autre. Chacun a son rôle et joue sa partition, chacun doit rester attentif et concentré, à l'affut de toute information.  
"..."Derrière chacun d'entre nous, il y a toute une équipe", avertit d'emblée Stéphane Lardy, doyen, autour de cette table, des négociations sur l'emploi – il a mené pour Force ouvrière (FO) toutes celles qui ont eu lieu depuis 2007.
Comme les autres syndicats, il a l'habitude de venir, dans cette salle au siège du Medef, avec cinq ou six personnes en s'appuyant sur différentes compétences. Etre nombreux permet aussi de rester attentifs pendant les longues heures que peuvent durer les tractations. "Tout peut se dénouer en quelques minutes, il ne faut rien rater", explique M. Lardy, qui avoue "faire attention à manger léger avant d'entrer dans la salle"..."
L'improvisation de paie pas !
Dans les grands comptes, c'est souvent le concurrent le plus professionnel et le mieux organisé qui l'emporte.
... "Si lui mène sa délégation avec autorité, celle de la CGT est nettement plus improvisée. A cause des dissensions créées par la course à la succession de Bernard Thibault, le secrétaire général, finalement emportée par Thierry Lepaon. Pour avoir soutenu un autre candidat – Eric Aubin –, Maurad Rabhi, chef de file historique du syndicat sur l'emploi, a été remplacé à la tête des négociateurs par Agnès Le Bot. Mais M. Rabhi, toujours présent dans la délégation, ne s'interdit pas pour autant de prendre la parole. "On a quatre membres de la direction dans la délégation, c'est intenable", admet un membre de la CGT. Résultat : le syndicat de M. Thibault semble exclu de la négociation, personne ne s'attendant à ce qu'il soit en capacité de signer un accord. "C'est dommage, car en s'engageant sérieusement dans une négociation, on peut obtenir des avancées, même si in fine, on ne signe pas", explique un déçu de la CGT"...
Etre celui qui tient la plume
De même que souvent un KAM ou un commercial grands comptes doit être présent dans le grand  compte bien avant l'émission d'un appel d'offres ...
... "Côté patronal, la délégation est encore plus importante. Derrière les négociateurs du Medef, de l'UPA (artisans) et de la CGPME, s'assoient une dizaine de représentants des différentes fédérations professionnelles. De ce côté-là de la salle, la discipline règne. Seul Patrick Bernasconi, patron de plusieurs entreprises du BTP, s'exprime. "Nous avons intérêt à rester unis, explique sans ambages Geneviève Roy, qui négocie pour la CGPME. Si j'ai un désaccord avec le Medef, je préfère toujours leur dire lors des suspensions de séance." Chose rarissime, depuis trois semaines, elle multiplie toutefois les critiques publiques sur l'idée de taxer les contrats courts, que pourrait accepter le Medef...."
"L'unité patronale permet surtout aux employeurs de bénéficier d'un gros avantage : celui de tenir la plume de l'accord qui sera ensuite soumis aux syndicats. "C'est plus simple de négocier sur votre propre texte", .../... La méthode – ou le jeu – que certains qualifient "d'archaïque" est toujours la même : le patronat propose d'abord un texte inacceptable pour les syndicats, avant de faire des concessions qui permettent à chacun de dire qu'il sort gagnant si un accord est signé."
Un long processus
"Dans une négociation, la signature n'est en effet que la fin d'un long processus où la stratégie joue un grand rôle. "La plus grande qualité d'un négociateur, après le fait de travailler ses sujets, est de pouvoir juger ce qui se cache derrière les non-dits. C'est là où peut se construire un accord", explique Marcel Grignard, longtemps n° 2 de la CFDT."
Des décideurs multiples
"La vraie négociation se fait à l'abri des regards, dans le cadre de rendez-vous bilatéraux et informels entre syndicats et organisations patronales, qui restent souvent secrets. "Dans ces rendez-vous, le ton est nettement plus relâché. On n'hésite pas à se dire mutuellement jusqu'où nos organisations sont prêtes à aller", .../... Les négociateurs sont en contact permanent avec leurs propres dirigeants, toujours prêts, lors des séances conclusives, à prendre le relais, même en pleine nuit, s'il faut négocier au plus haut niveau une virgule ou un point."


mercredi 8 août 2012

Hit parade 2012

Voici les tendances du marché 2012 de la formation et du conseil opérationnel vu de la fenêtre de Procleo :
  • La fonction commerciale, encore et toujours : fidéliser ses clients existants dans le contexte de concurrence exacerbée de la mondialisation, trouver de nouveaux clients, mieux négocier pour améliorer ses marges, travailler dans les grands comptes même en étant une PME,
  • Les accompagnements individuels de cadres et cadres dirigeants, dans le souci d'une meilleure efficacité au travail liée à un mieux être : mieux se connaître pour être un meilleur manager
  • L'accompagnement massif des 45 ans et plus dans le cadre des plans seniors, soit en formant les managers à l'entretien de deuxième partie de carrière, soit directement en incitant les "seniors" à se former et à prendre en main leur trajectoire professionnelle
  • L'affirmation de soi et le marketing de soi